Je ne l’ai pas oubliée
Giovanni Giacomo Casanova
Giovanni Giacomo Casanova
Du propre aveu de Casanova, séducteur d'entre les
séducteurs, Henriette fut son plus bel amour. Il a vingt-quatre ans et ne vit
que d'aventures amoureuses dans des alcôves vénitiennes et de vin dans les
cabarets, quand il la rencontre.
Il est libre mais pauvre, elle est riche mais surveillée... Pourtant, entre leur premier baiser et leur dernière étreinte, les deux amants vont savourer sans retenue le bonheur de s'être trouvés, avant de devoir se quitter, trois mois plus tard.
Cette passion, Casanova la décrit dans ses Mémoires avec une émotion inhabituelle chez lui, sans doute parce que, comme il le confessera bien plus tard : " son souvenir est encore un véritable baume pour mon coeur ".
Il est libre mais pauvre, elle est riche mais surveillée... Pourtant, entre leur premier baiser et leur dernière étreinte, les deux amants vont savourer sans retenue le bonheur de s'être trouvés, avant de devoir se quitter, trois mois plus tard.
Cette passion, Casanova la décrit dans ses Mémoires avec une émotion inhabituelle chez lui, sans doute parce que, comme il le confessera bien plus tard : " son souvenir est encore un véritable baume pour mon coeur ".
Edition : Seine
C’est drôle, hein, parce que
je ne m’attendais pas du tout à ça. Pour moi, Casanova, c’est le Dom Juan, le
séducteur, le Womanizer, celui qui ne tombe jamais réellement amoureux et qui
pourtant aime en permanence. C’est l’impétueux jeune homme, fougueux,
aventurier, voleur. C’est celui qui promet monts et merveilles et qui s’enfuit
avant que le soleil ne se lève. C’est celui qui est plus riche que de raison et
qui jette son argent par les fenêtres, c’est le bienheureux qui profite de sa
beauté. Et qui ravit la vertu des jeunes filles qu’il rencontre. Alors, tout de
même intriguée, j’ai voulu connaître sa méthode, ses pratiques, les phrases
qu’il dit pour charmer, les gestes qu’il fait. Je m’attendais à découvrir ce
que je ne devais jamais croire. Et en fin de compte, j’aurais rêvé être Henriette.
Je
ne l’ai pas oubliée est la plus belle histoire d’amour impossible
d’un homme qu’on ne croit pas pouvoir aimer comme ça. J’ai été charmée par l’histoire, je l’avoue. Par cette douce
française tellement forte et intelligente. Joyeuse, pétillante, belle, fraiche,
virtuose. Un modèle féminin à part entière. Et par ce Casanova que j’ai
découvert : amoureux, attentionné, passionné, illusionné. Et j’ai cru à
leur histoire autant que lui y a cru –et il y a cru si fort !- que j’en ai
été bouleversée. J’ai été impressionnée par Henriette, par sa force, sa
droiture.
C’est une belle histoire. Un
délicieux bonbon à placer sous la langue et à laisser fondre. A savourer. C’est
très rapide à lire (je n’ai mis qu’une journée) mais c’est d’autant plus
appréciable. Et pour ne rien rater à ce roman, Casanova est lui-même l’auteur de son histoire et il a une plume vraiment entrainante.
La plus belle histoire d’amour
d’un séducteur contée par lui-même. Un vrai plaisir. Dès que vous le pouvez,
vous devez le lire. Vraiment.
Once Upon a Book
Ca, c'est un nom italien, dis donc, on peut pas faire pas mieux ^^ :)
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